Salut,
dsl pour le temps de réaction...
J'étais aux prises avec des plannings très chargés, et petits cumuls de fatigue.
Les orages en Bretagne ;
Je dirais qu'en été les situ plus favorables aux orages sont ;
par marais barométrique, des baisses de pression au voisinage du Finistère, ou sur le Golfe de Gascogne.
Que la pression n'augmente surtout pas par l'W, et n'engendre pas de flux de NW ou au N, sinon c'est pour ainsi dire kaputt en la saison. On se retrouve ainsi avec brume et température à fléchir.
Situation que l'on a souvent connue, cette année en Bretagne.
Souvent les min déps orageux étaient positionnées sur le S de la France.
Le 25 mai 2007, orages virulents à Paris et dans les Charentes, rien en Bretagne car entre autres, la P. atm allait en croissant vers l'W.
http://www.wetterzentrale.de/archive//ra2/2007/Rrea2007052512.gifExemple plus frappant, 22 juin 2003, flux de S et Tx caniculaires jusqu'en Bretagne Nord, menace orageuse en fin de journée.
Puis en soirée, avec évacuation de la dép vers l'Est, le flux a viré au NW, et arrivée de la brume, et chute du mercure de 10 à 14 °C, et Cb tués comme des mouches.
Des flux relativement faibles de NE, SE, jusqu'à SW, sont de meilleurs ingrédients.
2 août 2004, grosse soirée orageuse entre Nantes, Rennes, et St-Malo.
http://www.wetterzentrale.de/archive//ra2/2004/Rrea2004080212.gif1er juillet 1995, en début de soirée, aussi bien à Paris qu'en Bretagne.
A Cancale (35), une cellule arrivée de baie du Mont-St-Michel à maturité, pour finir sa course à St-Brieuc.
http://www.wetterzentrale.de/archive//ra2/1995/Rrea1995070112.gifLe 9 août 1994,
http://www.wetterzentrale.de/archive//ra2/1994/Rrea1994080912.gifOrages en nombreuses régions, dégâts liés au vent, rafales supérieures à 120 km/h en IDF, et Centre, et dégâts reportés à St-Malo.
Le tonnerre a également grondé dans le Finistère.
2 mai 2004, orages grêligènes d'abord sur Poitou, puis Nantes, puis Rennes, jusqu'au Morbihan. Flux d'E dominant.
Faute d'humidité à 700 hPa sur la côte, les orages se sont cantonnés à l'intérieur de la région, le ciel est resté quasi clair à St-Malo.
En hiver, les traînes sont actives certes ; mais je ne pense pas que St-Malo soit plus exposée qu'autres points littoraux ou sites de Bretagne.
Le 21 mars 2004, dans flux d'ouest, des giboulées se sont déclenchées surtout dans les terres, comme à Rennes et Paris avec rafales supérieures à 80 km/h.
A St-Malo, soleil tout l'après-midi, après une ou deux averses en matinée, le vent n'a pas souvent dépassé 60.
La masse d'air s'était asséché en altitude. Je me rappelle encore cet énorme couloir de ciel clair vu d'en bas, puis sur photo satellite...
Le 25 novembre 2005, l'apparition de cette tornade à Dinard, était sûrement, comme justement mentionné par Chris68, issu de
- Citation :
- grains s'alimentant sur une eau souvent plus chaude avant d'impacter des terres plus froide ce qui est parfois facteur d'intensification.
La mer était encore baignable fin septembre, en contraste avec un froid carrément neigeux et soudain, s'était déclaré la veille au soir simplement.
Les côtes Nord de Bretagne, et de Manche sont baignées par des eaux qui en été se réchauffent assez vite, à St-Malo l'eau est souvent de 1 ou 2 °C plus chaude qu'en mer d'Iroise.
Au niveau des terrains, le 35 et parties du 56 et 22, extérieures au massif armoricain paraissent sans doute + exposés, en raison de reliefs faibles, sols + ou - meubles imprégnant mieux l'humidité.
Ces départements sont essentiellement de bocage, terres cultivables et zones boisées.
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